Okay, en ce moment, on actualise pas beaucoup ce blog, je pense que le top nous a pris pas mal d'énergie et on se remet doucement dans le bain, ne vous en faite pas, le rythme va reprendre et on a beaucoup de disques dont on a envie de vous parler!
Aujourd'hui je m'intéresse aux Cobwebbs, une jeune formation australienne de garage rock poisseux et malsain. Signés chez le même label (Saturno Records) que les Frowning Clouds ces mecs déboulent avec un son qui sent la fin de soirée, quand l'odeur de vomi se mélange à celui de la smoking machine, et qu'on essaie de taxer un fond de bière qui trainait sur le comptoir. Beaucoup de gens se plaigne que la musique actuelle n'offre rien d'excitant, grand bien leur en fasse, les Cobwebbs comme leurs cousins Frowning Clouds s'en moquent, ils ont juste envie de péter leurs amplis pendant un de leurs concerts et nous vriller les neurones.
Cet EP trois titres à la pochette superbe (une déclinaison op art sérigraphiée sur du papier calque) envoie deux morceaux brûlants comme l'enclume du forgeron qui tape sur le métal incandescent, idéal préparation pour la pièce de choix en face b: "after dark". Cette odyssée des descentes semble vouloir prolonger cette fin de soirée que j'évoquais plus tôt. Bien que terriblement garage, jusque dans le son, les Cobwebbs évoquent surtout des groupes contemporains, un peu les Oh Sees mais surtout les excellents Peoples Temple dont a vanté les mérites dans ces mêmes pages.
Si vous voulez une bonne dose de garage crasseux et déglingué vous pouvez vous payé un billet pour l'Australie, ou alors achetez cette galette chez votre dealer.
Aujourd'hui je m'intéresse aux Cobwebbs, une jeune formation australienne de garage rock poisseux et malsain. Signés chez le même label (Saturno Records) que les Frowning Clouds ces mecs déboulent avec un son qui sent la fin de soirée, quand l'odeur de vomi se mélange à celui de la smoking machine, et qu'on essaie de taxer un fond de bière qui trainait sur le comptoir. Beaucoup de gens se plaigne que la musique actuelle n'offre rien d'excitant, grand bien leur en fasse, les Cobwebbs comme leurs cousins Frowning Clouds s'en moquent, ils ont juste envie de péter leurs amplis pendant un de leurs concerts et nous vriller les neurones.
Cet EP trois titres à la pochette superbe (une déclinaison op art sérigraphiée sur du papier calque) envoie deux morceaux brûlants comme l'enclume du forgeron qui tape sur le métal incandescent, idéal préparation pour la pièce de choix en face b: "after dark". Cette odyssée des descentes semble vouloir prolonger cette fin de soirée que j'évoquais plus tôt. Bien que terriblement garage, jusque dans le son, les Cobwebbs évoquent surtout des groupes contemporains, un peu les Oh Sees mais surtout les excellents Peoples Temple dont a vanté les mérites dans ces mêmes pages.
Si vous voulez une bonne dose de garage crasseux et déglingué vous pouvez vous payé un billet pour l'Australie, ou alors achetez cette galette chez votre dealer.
achat:
Label / Born Bad / etc. /
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